vendredi 27 avril 2012



                                                     Présentation d’Olivier Cousin par Pierre Tanguy

                                         (Plomelin, 1er avril 2012)                                     





     Vous parler d’Olivier Cousin aujourd’hui est pour moi un réel plaisir. D’abord parce que Olivier est déjà un auteur qui compte en Bretagne (mais nous en reparlerons). Mais aussi parce qu’il est professeur de lettres dans le collège et lycée de Lesneven où j’ai fait mes propres études. Mes « humanités classiques » comme l’on disait à l’époque. C’est dire que nous avons au moins quelques horizons communs: le plat pays léonard certes, mais aussi le rugueux littoral du pays Pagan, du côté de Plounéour-Trez et de Brignogan, avec son ciel changeant. Loin du ciel « sans paupière » du dernier recueil d’Olivier.

    Olivier est né à Brest rue Neptune, mais il habite Lesneven dans un quartier, proche de la campagne, où les rues portent des noms de poètes. Le veinard. Pour lui, c’est rue Anjela Duval. J’avoue que je l’envie beaucoup de résider ainsi dans une rue qui honore la grande poétesse tregoroise.
    L’œuvre déjà importante d’Olivier Cousin est, d’abord, marquée par l’éclectisme. On trouve des romans, des livres pour enfants, des livres d’artistes, des recueils de poèmes, des participations à des anthologies et des publications en revue.    Olivier Cousin  est un auteur prolixe. « Toujours des mots au fond de la poche » : c’est la formule à l’emporte-pièce qui inaugure son blog. Un blog où il dit, à juste titre, que ses thèmes privilégiés sont sa Bretagne natale, les pays celtiques et d’autres pays, la création artistique, le patrimoine. Le titre d’un de ses quatre romans « Les enchaînés de Landouzan » le montre bien. Mais aussi son bel album « Rêves de pierre » consacré aux sculptures de bateaux et navires que l’on trouve sur des édifices ou monuments bretons.   Son attachement à la création artistique le fait travailler en lien avec d’autres créateurs : Anne Salaün pour les illustrations des ses deux petits livres pour enfants (« Drôle de bestiaire de la mer » et « Drôle de bestiaire du dictonnaire »), Jean-Pierre Blaise pour ses « Rêves de pierre » ou pour un livre d’artiste intitulé « Même les amers sont fragiles ». Il y eu aussi à noter cette collaboration avec l’artiste Jean-Yves André dont les eaux-fortes illustrent « La lune pour six écus ».    J’ajouterai qu’Olivier Cousin cultive volontiers la confraternité entre auteurs puisqu’il a été la cheville-ouvrière de deux ouvrages collectifs donnant carte blanche à des écrivains bretons pour décrire leur lieu de prédilection. Premier tome intitulé « En Bretagne ici et là, 40 lieux, 40 auteurs ». Deuxième tome : « Regards sur la Bretagne ». 40 auteurs sollicités également.     Mais si nous sommes avant tout réunis aujourd’hui pour parler d’Olivier, c’est pour saluer le prix qu’il a obtenu l’an dernier :le prix de poésie Camille Le mercier d’Erm de l’association des écrivains bretons, pour un recueil intitulé « Sous un ciel sans paupière », publié aux éditions rennaises La Part commune.
    Interrogé par un quotidien régional après l’attribution de ce prix, Olivier Cousin déclarait. « Cet ouvrage est celui auquel je tiens le plus en terme de contenu, celui qui me ressemble le plus en quelque sorte ».    Celui qui me ressemble le plus : cela mérite qu’on s’y attarde.

     Dans une chronique que j’avais rédigé à l’occasion de la sortie de son livre, j’avais personnellement noté que loin, très loin de son nord-Finistère natal, l’auteur s’employait à nous parler de mondes qui n’ont pas les mêmes saveurs ou les mêmes couleurs que le nôtre : la Grèce, l’Italie, l’Espagne, la Turquie… De paysages méditerranéens, qu’il nous présente en alliant habilement  repères mythologiques et scènes de la vie contemporaine. Sur un ton détaché,  parfois badin voire trivial. Sans jamais se prendre au sérieux. Comme s’il sortait d’escapades touristico-historiques (« On a beau s’être rincé/ l’œil à Corinthe »)
     Mais Olivier,  au bout de son périple, posait la bonne question : « Cela rime à quoi/de lire sa vie/dans les feuilles d’olivier/quand on est né sous un hêtre ? ». Car l’Odyssée moderne d’Olivier Cousin – on l’aura compris - est aussi, et surtout, une manière détournée d’aller à la recherche de ses propres racines.

     Aller loin pour se (re)trouver. Rien de bien original. Sauf quand un poète tente d’établir des passerelles entre ici et là-bas. Et le réussit. Embarquant pour une île du Ponant, Olivier Cousin note : « Crachinage matinal/à l’embarquement pour Ouessant/ Ni verte ni bleue mer glauque/ couleur de feuilles d’olivier ». Faisant le lien avec la mythologie grecque, il note : « Je n’oublie pas/que notre domicile à ma naissance/était sis à Brest rue Neptune »

     Aujourd’hui, à mes yeux, cette quête d’identité va au-delà du fait de savoir ce qu’il en est de ses racines bretonnes.

   C’est sans doute son identité d’auteur qui, en réalité, est en jeu. Olivier conservera-t-il son éclectisme éditorial actuel ? Ou bien le verra-t-on emprunter prioritairement la voix exigeante de la création poétique ? Je parie, personnellement, sur cette deuxième option.

    Olivier Cousin va continuer à « Puiser aux mondes » (titre magnifique de son premier recueil) avec « une poésie qui ne joue pas à l’être ou, si l’on préfère, qui ne se la joue pas » comme l’écrit le poète quimpérois Marc le Gros dans sa préface à « Un ciel sans paupière ».

    S’il faut situer aujourd’hui Olivier Cousin, pour ceux qui ne l’ont pas encore lu, disons qu’il est plus proche de Keineg que de Grall ou Le Men. Mais sa voix est particulière. A l’approche de la quarantaine, il n’a pas sans doute pas fini de nous surprendre et de nous faire partager ses émotions. Dans « Puiser aux mondes », il écrit : « En Bretagne nul besoin de boussole/ - autant cartographier à fond le cœur qu’on aime ! -/pour dénicher son ailleurs,/trouver lieux et échanges qui consolent ».

   
                                                                                                             Pierre TANGUY

Flam
Claude Goulard Oeufs Peints
Louis Bertholom Jean Charles Perazzi Hervé Lossec
Stand de Michel Remaud(peintre)
Olivier Cousin
Claude Caër.
Michèle Brieuc et Laurent Segalen
Stand de Solange et Yves Dussin (à la rechercher de Quilles en l'air!)
Bruno L Her (romans policiers) Lilian Vezin (baroudeur!)
Clémence de Villecourt
Peintures de René Gonidec
Marylise Leroux (poète) Marie Josée Christien et Gérard Cléry
Fanch Hémery bien attablé!(mais sans son dulcimer!)
Gérard Cléry (homme de lettres) Marylise Leroux Marie Josée Christien(poète)
Photos du salon 2012
Les Amis de la Bibliothèque de Plomelin
                        Actualités.
L'association prévoit une sortie culturelle à Pont Croix le 25 mai Vendredi en covoiturage.
Une seconde sortie a été programmée le 3 spetembre sous l'égide de Serge Duigou vers le Pays du Faouët

En outre un spectacle tout public sera organisé le samedi 6 Octobre salle Kerne.
CLAUDE COUAME CHANTE JEAN FERRAT. 
Le spectacle sera égréné de photos et vidéos concernant le chanteur .


Dimanche 4 Novembre Clémence de Villecourt animera une causerie salle Kerne en soirée.
Lilian Vezin
Après avoir travaillé quelques années comme animateur environnement maritime et montagne, Lilian reprend des études d’éducateurs sportifs avant de se lancer dans des grandes expéditions et se passionner par la découverte de territoires inexplorés (source du Mekong au Tibet, Plateau du Pamir au Tadjikistan et au Nord de l'Afganistan). Fondateur de l’association humanitaire "Surya", et de l’association "Vent du Large©Edition-Production" échange, partage, découverte et exploration de pays. Il est aussi écrivain et conférencier, auteur des livres "La Marche du Prince", "Retour aux sources", "Mékong, fleuve d’aventures"," Asie centrale Terre d’aventures" et "L'abstente et autres escales". Réalisateur des films "La marche du prince", "Mékong, fleuve d’aventures"et "Asie centrale

Lilian Vezin, 38 ans, s'apprête à réaliser une nouvelle expédition inédite: la traversée intégrale de l'Atlas Marocain à pied et en solitaire. Sans aucun moyen mécanique ni assistance, il devra parcourir plus de 1200 kilomètres à pied et en montagne, pour ne devoir les kilomètres qu'à sa propre énergie. Profitant de cette avancée en solitaire, il livrera un témoignage inédit de son aventure avec un matériel audiovisuel léger, qui lui permettra d’avoir un rapport beaucoup plus naturel avec les populations rencontrées, et surtout accéder à des endroits encore jamais explorés par les grosses équipes de tournage. Tout au long du périple, il rencontrera des gens qui lui feront part de leur culture et de l'idée du Maroc d’aujourd’hui. Le voyage

commencera au Nord du Moyen Atlas avant de s'achever plusieurs semaines plus tard sur une plage de l'Atlantique. Lilian profitera de cette traversée pour faire

l'ascension des trois plus hauts sommets d'Afrique du Nord. (Jbel Toubkal 4167m, Jbel Ouanourakrim 4089m et le Ighil M'Goun culminant à 4071 m d'altitude).
Lilian Vezin Baroudeur des temps modernes!
Chantal Tunnacliffe

Peintre et illustratrice de cartes postales 

Elle présente cette année des réalisations de BSM BREIZH SOLIDARITÉ MAASAÏ

Association quimpéroise Soutien au peuple Maasaï du kenya Financement de forages profonds et aide à la reconstitution du cheptel


Pierre Tanguy
Dans ses recueils avec le talent qui le caractérise, Pierre Tanguy caresse les mots pour mieux les assembler. Il fait rimer poésie et spiritualité sans jamais se perdre dans de souverains poncifs. A lire « Fou de Marie », ou « Que la terre te soit légère » ainsi que, « Lettres à une moniale » Pierre Tanguy et sa poésie rendent « visible l'invisible », avec ce souci « de faire pressentir l'absolu ou d'être un instrument  de recherche de sens dans une société en perte de repères...
Son dernier recueil « Mises au Monde » Pierre Tanguy livre ici ses émois de jeune père. Dans ces fragments rédigés sur le vif (qu’il revisite vingt-cinq ans après), il raconte la « mise au monde » de ses deux filles. Sous sa plume, ces extraits d'actes de naissance deviennent de véritables instants de grâce L'auteur prolonge son carnet de paternité par une évocation du « premier âge ». Autant de moments d'intimité, humbles et lumineux, exprimés dans une économie de mots propre aux adeptes du haïku.
Pierre Tanguy rendait hommage à son ami Olivier Cousin au au salon livr arts d’avril 2012

Joëlla Touzé
Peintures (bigoudènes. Broderies) Fleurs de l’Estran. Déco Table, pendentifs. Peinture sur verre et ardoise (Plats assiettes, pendentifs, ardoises décoratives)
Chantal Sannier
Créatrice de marques pages en dentelle

André Sannier

Cet artiste se concentre depuis plus de 48 ans sur le paysage breton et oriente son sens artistique 
sur une recherche graphique. Son lien à la nature, et particulièrement à la mer, reste le fil conducteur de son travail.
Les ports, les bateaux, les matières, les reflets en font sa signature qui sera, à plusieurs reprises, reconnue Outre Atlantique.Sa technique est irréprochable. Il choisit de montrer les paysages à la lumière particulière, celle du lever du jour, diurne, voilée ou encore couchée. Il utilise avec talent la photographie couleur à des fins artistiques. Les contrastes de ses images sont minutieusement accordés. Il apporte une attention toute particulière à la technique, à la composition, aux cadrages et à la finesse du détail qui est sublimé par un tirage parfait.

Laurent Segalen

Laurent Ségalen vit à Bourg Blanc (29) où il est né. En quelques années, il a permis à Gaétan Letrusel de se faire une place dans la culture policière régionale.

 Il présente son dernier roman :LES GALETTES DE LA COLERE EN SUD FiNISTERE"
L’intrigue se déroule dans le milieu du la biscuiterie entre Quimper et Concarneau

Marie Sizun
La romancière bien connue du public présente son dernier roman. » Un léger déplacement »


Comme dans son précédent roman « Plage » quelques jours de solitude vont permettre à une femme de réfléchir à sa vie et d’y voir plus clair. La narratrice,  d’origine française, a quitté son pays pour se marier à un américain. Elle vit à New York une vie tranquille .Un héritage lui donne l’occasion de revenir en France pour quelques jours. Dans l’avion, une sensation étrange l’envahit,

une sorte d’absence « un léger déplacement «  « Ce malaise s’estompe mais elle se sent différente .Le retour sur les lieux de son enfance lui fait prendre conscience du chemin parcouru mais aussi du temps qui lui reste à vivre .A soixante ans elle n’a pas de temps à perdre ! L’envie d’éclaircir les zones de son passé s’impose à elle. En tête à tête avec Hélène nous la suivons dans ses questionnements. Un beau roman sur la maturité.

Marie Sizun a déjà publié six romans dont l’incontournable « La femme de l’allemand ".


jeudi 26 avril 2012

Michel Remaud
S’installe à Quimper et enseigne de1971 à 2008 dans un grand lycée quimpérois. Parallèlement, reprend la peinture dans les années 80 en autodidacte et c’est en 1999 que Patrick Gaultier lui offre sa première exposition personnelle dans sa galerie d’art contemporain à Quimper. Atelier à Plomelin.

«Michel Remaud vient vers nous dans une danse nouvelle. Naguère il se jouait de la solidité, l’opacité de la paroi, en y incisant des failles, inscrivant des déchirures : maintenant, plus loin, il l’ouvre, lui donne de l’air, de la légèreté, de la lumière, de la transparence, de la fraîcheur.”Gilles PLAZY, Poète, Écrivain, Plasticien

 Présente Bréviaire de Sel" de Louis Bertholom a été tiré à 12 exemplaires sur papier BFK Rives 250 gr (23.5cm x 22.5cm). Accompagné de 6 illustrations originales de Michel Remaud. Emboîtage de l'atelier Jeanne Frère. Achevé d'imprimer en août 2011.

A PROPOS DES LIVRES D’ARTISTE

Peindre bien évidemment pour soi; mais aussi, et peut-être surtout, pour que les images nées en soi aillent interroger l’autre, lui faire signe et partager avec lui un peu de cet « arrêt du temps » qu’est la peinture.
Et si la peinture est un acte de foi dans le dialogue et l’altérité, le livre d’artiste en est alors incontestablement un emblème des plus vibrants et des plus rares. 


 Objet précieux puisqu’il naît du partage et de la rencontre entre deux êtres, deux arts –un poète et un peintre ou un graveur, un photographe, un sculpteur, un musicien- qui se trouvent, s’accordent et partent ensemble à la découverte de territoires intérieurs encore ignorés d’eux-mêmes pour lui donner naissance. Objet de cristallisation vers l’essentiel : la fusion du signe, de la couleur et du mot pour faire sens


Gilles Plazy

Ecrivain et plasticien Gilles Plazy est un journaliste, critique d'art, écrivain, essayiste, critique littéraire et poète français A publié depuis 1970 une quarantaine d’ouvrages parmi lesquels des romans, des nouvelles, des poèmes et des biographies , ainsi que des études consacrées à différents artistes (Cézanne, Van Gogh, Matisse, le Douanier Rousseau, Fra Angelico, Chagall, Picasso) et écrivains (Julien Gracq, Henry Miller, Georges Perros, Tristan Corbière, René Char).
S’est engagé en peinture en 1971.. A participé à diverses expositions de groupe et montré plus précisément son travail en deux expositions personnelles (Eloge de Pythagore, Galerie de Varenne, Jacques Damase, 1978, et Galerie d'Art International, 1987). A cessé de peindre en 1992 et a alors détruit tous ses tableaux. Est revenu à la peinture en 2002.
A exposé en 2010 à l'Espace Michel Thersiquel (Bannalec) et à la Galerie G4 (Cheb, République tchèque) et en mai- juin 2011 à la Médiathèque Georges Perros de Douarnenez (Orphée, ne te retourne pas !)Oscille entre abstraction expressionniste et abstraction géométrique



Présente quelques une de ses toiles  au salon de Plomelin

Patrice Perron

Patrice Perron, poète guidélois et initiateur du Printemps des écrivains, et Alis Thèbe, peintre et écrivain originaire de Nantes, partagent de temps à autre l'art de l'écriture. Ainsi «Le savant fou aux cheveux tirés par les vents», écrit par le premier et de «Le vieux nhomme assis sur un banc».Sortis en janvier2004

Une suite a vu le jour. Le nouveau livre s'intitule «Les nouvelles aventures de vieux bonhomme et du savant fou». Les deux complices dévoilent cette fois deux nouveaux personnages Erwan et Alma, les enfants du savant fou et du vieux bonhomme, entraînent le lecteur sur la mer à la découverte des Açores, de l'Irlande et du Pays de Galles», explique Patrice Perron. Un périple qui réservera quelques surprises, sur le fil parfois rocambolesque du merveilleux. «Mais, après tout, ne sont-ils pas les enfants de nos deux compères  À travers leur complicité et leurs vieilles querelles, ils gardent le cap avec humour : «Heureusement, car ils sont désespérément et formidablement humains. C'est sans doute ce qui fait leur charme »
Jean Charles Perazzi

Jean Charles PERAZZI

Un jardinier parle aux jardiniers ! Voilà l'esprit de résistance qui anime Jean-Charles Perazzi. Il nourrit de ses expériences, de ses rencontres et de ses pérégrinations en Bretagne et autour du monde un vaste et généreux «potager modèle » lequel inspire ses visiteurs et renoue avec une éthique du jardinage. Un art de vivre basé tant sur les pratiques oubliées de nos ruraux aïeux que sur les connaissances environnementales dernier cri. Le souci écologique n'est pourtant pas l'unique motivation de ce petit traité. On n'y oublie ni les trucs faciles pour garantir de belles récoltes, ni les conseils de préparation culinaire.
Car tout cela se mange à la fin. Et, en attendant, se déguste avec l'humour des dessins de Nono. Jean-Charles Perazzi, ancien journaliste à Ouest France, a signé plusieurs ouvrages, souvent engagés, notamment la série illustrée des Arsène sur la malbouffe (éditions An Here). Nono est le caricaturiste du livre


Paul Moal
TECHNIQUES Principalement de la peinture à l'huile, études et croquis en pastel sec
    PAUL MOAL est né à Douarnenez
- 1990: projet de 55 vignettes ou "timbres"
1993-94: service de faïence de 18 pièces sur le thème de la pêche. 1994: 3 projets de sculpture sur des attitudes de marin.
Ses premiers essais sur faïence datent de 1983. En 2004 et 2005, Paul Moal a créé deux ensembles de table. En 2006, quatre sujets représentant des pêcheurs ont vu le jour.Cette année pour le salon de Plomelin il présente des œuvres de faïencerie originales.


FLAM (Florence Muckensturm

Conteuse, auteur, animations ateliers enfants.  Elle publie « Plaisance, tu parles ! »  Et explique : Voici le livre où j'ai tout fait : vivre l'histoire, l'écrire, l'illustrer. De l'Ile Tudy à Quiberon, je vous fais visiter la côte sud-bretonne à ma manière. Toute ressemblance avec des aventures que vous auriez vécues.En l'offrant à des amis fous de bateau vous ferez peut-être oeuvre de prévention bienveillante. A défaut, rire ne fait de mal à personne, merci pour eux ! » Amènera  des petites illustrations de chats à encadrer
Annick Le Douget

« Crime et justice en Bretagne » est son 5ème ouvrage et cette fois la greffière du tribunal de grande instance de Quimper, passionnée des archives judiciaires, nous raconte la justice en Bretagne au XIX e et XX e siècle, ses mœurs, ses mentalités, ses palais de justice intimidants, ses procès. De l'affaire Dreyfus à l'affaire Seznec, en passant par les procès de pétroliers ou la prise d'otages de Georges Courtois en plein palais de Nantes, l'histoire de la justice en Bretagne ne manque pas de relief. Les caractères régionaux s'y expriment dans les crimes de sang comme dans la contrebande, les violences agricoles, religieuses ou politiques, les litiges particuliers...L'auteur, en spécialiste reconnue, fait appel aux archives pour raconter ces destinées illustres ou méconnues, dans un système en perpétuelle évolution de 1800 à nos jours. Sans oublier les bagnes, les prisons, les chroniqueurs judiciaires...La vie des cours et des prétoires est décrite avec minutie ; de grands personnages ayant servi sous les robes de juges, de procureurs ou

 d'avocats sont placés en exergue des événements auxquels ils ont prêté leur voix, s'élevant contre la peine de mort, les conditions carcérales, les erreurs judiciaires en donnant simplement un visage humain à la Justice, quand ce symbole de progrès  s'incarne plus souvent en des lieux et des décors empreints d'une intimidante solennité.
Christine Letellier

Le vent des roses est un petit recueil de poésies rédigé au fil des ans en regardant la vie, la mienne et celle des autres. C’est tout ce temps écoulé qui rend les textes si différents les uns des autres. Parfois les mots tentent de transcrire ce que les êtres gardent bien caché au fond d’eux-mêmes. Parfois les mots se veulent espoir, tendresse ou bien rêverie. Ainsi va la vie, au gré du vent qui tourne et tourbillonne, emportant nos destins vers de nouveaux lendemains, faits de joie, de tristesse ou de légèreté…aussi légers que les pétales d’une rose.
Marie Antoinette Le Reste
Elle expose des oeuvres graphiques

Exposition de cartes à la Conférence des Géographes Américains - Février 2012 - New York.
Bruno L'Her

Bruno L'Her est Officier de Police Judiciaire dans la Gendarmerie Nationale. Hormis l'écriture, il consacre la plupart de son temps au monde du handicap mental. « Le sang de la vengeance » est son quatrième roman. Région du Golfe du Morbihan. Un homme est découvert assassiné selon un terrible rituel. Lorsqu'ils comprennent que d'autres exécutions vont suivre, le gendarme Anselin Garnéro et son équipier Jean-Jacques Cavalli savent qu'ils n'ont que quelques heures pour identifier et protéger les autres victimes. Mais les enquêteurs n'avaient pas prévu une chose : la vitesse de frappe du tueur. Chaque nuit, un nouveau meurtre, rigoureusement identique au précédent, est commis. Une course contre la mort s'engage alors pour sauver le dernier homme d'une implacable vengeance qui, pour le meurtrier, ne peut se payer que par le sang.de la vengeance malheureusement pour Anselin Garnéro, l'assassin ne sera pas le seul démon qu'il aura à combattre tout au long de son enquête.
Bruno L’Her a déjà fait paraître : « Meurtre pour l impunité » et « Une Amertume Empoisonnée ». « La Résurrection de l'Ange » a obtenu le 1er prix régional littérature Lions Club Grand Ouest en 2008.
Laetitia May Le Guélaff

Spécialiste de la sculpture sur métal, Laëtitia-May a déjà participé à plusieurs expositions et notamment à Montréal où elle a effectué un stage de six mois durant ses études. L'artiste se dit très inspirée par des films fantastiques, tels que Mad Max, ou les réalisations de Tim Burton. Ses œuvres sont étonnantes. Laëtitia-May s'est découvert une passion pour le travail du métal qu'elle associe dans ses créations à de la fourrure. Fausse évidemment. Crée également des illustrations, qui composent le recueil de poésie "L'Attente du Chat" de Marie-Josée Christien
Hervé Lossec

Après les Bretonnismes Tome 1

Le tome 2 des Bretonnismes : "Les Bretonnismes... de retour" fait du reuz !

Vous avez aimé le tome 1, du goût et même du plaisir vous aurez de retour avec celui-ci, aussi


Pierre Livory
"Les Fées des grèves" et les Magiciens architectes» se sont penchés tour à tour sur le berceau d'Hortense pour lui assurer une naissance heureuse. Hortense la petite méduse deviendra ce merveilleux voilier pour enfants grâce à son goût de l'aventure et son sens de l'amitié."Les belles choses ne naissent que de belles rencontres."Ce conte de bord de mer pour enfants a été demandé à Pierre par une de ses petites-filles. Comment résister ! Alors Pierre a écrit pour elle, pour ses trois autres petits-enfants, pour ses petits-neveux et nièces, et pour tous leurs copains et copines, cette histoire touchante, générée par la culture familiale, déjà côtoyée dans « Gamins d’la Côte ». Les méduses, tout le monde connaît ... mais personne ne pouvait soupçonner ces aventures et ces métamorphoses.
André Le Ruyet

Après «  Itinéraire de Paris à Kernascléden » et » Spectralement vôtre » l’auteur publie’ »Du Rififi au Gagatorium » On a beau savoir que ce sacré  André va nous entraîner dans des aventures imprévisibles, où le bouffon côtoie l'humain, où le comique le plus farfelu surgit là où on ne l'attend pas, on se laisse quand même emporter par cette histoire aux multiples rebondissements! Il y a, dans l'écriture jubilatoire de ce roman, un héritage littéraire issu des fabliaux du Moyen Age, de Rabelais, des contes de Canterbury, de Guignol, et que renieraient ni René Fallet ni Antoine Blondin! Un héritage qui ne demande qu'à renaître, et rejoint celui des saltimbanques, acteurs de rues et autres jongleurs des mots et du verbe de notre époque. André LE RUYET ''fait'' de la littérature. Parmi la meilleure : celle qui nous rend à notre humanité. Avec le rire.